Voyager au Népal : 8 conseils avant de visiter le pays
Voyager au Népal : 8 conseils avant de visiter le pays
Visiter le Népal, royaume de l'Himalaya, du trek et des temples, c’est un but accessible à tout amoureux de randonnée ou tout voyageur en quête de tranquillité. Quoi de mieux qu'un récapitulatif complet pour bien préparer son voyage et profiter de ce superbe pays ?
Visiter le Népal
Pris entre l'Inde et le Tibet, le Népal est un petit pays où s'entrecroisent cultures, religions, sport et nature à couper le souffle. Au carrefour sur la route de la soie et du sel, il attire de nombreux curieux voyagent du monde entier. Destination rêvée des alpinistes, le Népal réserve aux fous d’altitude quantité de treks qu'ils n'oublieront pas de sitôt, vers les sommets incroyables de l'Himalaya, voire même jusqu'au mont Everest, le toit du monde. Le défi d'une vie pour tout randonneur en quête de dépassement de soi.
Mais le Népal n'est pas réservé aux mordus de haute altitude. Des sensations tout aussi fortes attendent les voyageurs sur la terre ferme, en visitant les richesses culturelles du pays, sur l'eau, grâce aux nombreux fleuves et rivières qui sillonnent le pays, ou dans les airs, en parapente ou en ULM. Voyageur solo, en couple ou voyage en famille, visiter le Népal comblera vos attentes !
Surface : 147 179 km²
Population : 29 millions
Décalage horaire : +4 heures et 45 minutes en été/ + 5 heures et 45 minutes en hiver
Pour espérer bénéficier d'une météo agréable, deux périodes de l'année sont les meilleures pour partir en voyage au Népal : l'automne et le printemps. Les mois d'octobre et novembre sont les plus populaires auprès des touristes et des randonneurs qui partent à l'assaut du base camp de l'Everest, par conséquent, le tarif des logement est plus élevé. Prenez soin de réserver vos nuits d'hôtel quelques temps avant de partir pour ne pas vous retrouver à la rue.
Quant à partir au Népal au printemps, c'est un bon point pour les températures plus chaudes et les journées ensoleillées des mois de mars et avril qui provoquent l'éclosion des rhododendrons en altitude. C'est le bon moment pour visiter Katmandou, capitale du Népal, et sa vallée. C'est également une bonne période pour partir randonner ou pour faire un trek au Népal Sachez toutefois que vous risquez d'être déçu d'un panorama bouché par les nuages bas. Le printemps est idéal pour visiter les parcs nationaux au sud du pays et espérer croiser des éléphants, des rhinocéros, voir même un tigre du Bengale avec un peu de chance.
Pour les aventuriers à la conquête des sommets enneigés de l'Everest et des hauts sommets des Annapurnas, le mois de mai est la période idéale pour mener ce grand projet. C’est le moment où les pluies s'abattent sur le pays et les températures s'envolent dans la vallée de Katmandou. Les mois d'été, jusqu'à la mi-septembre, sont à éviter. Les forte pluie et la mousson rendent les sentiers boueux et les glissements de terrain sont fréquents. C'est toutefois le moment idéal de visiter le Mustang, terres reculées du Népal, et les hautes vallées de l'Himalaya.
Vous l'obtiendrez très simplement sur place en atterrissant à l'aéroport de Tribhuvan, à Katmandou. Il vous faudra remplir le bon papier, disponible dans la grande salle de l'aéroport. Munissez-vous de plusieurs photos d'identité et de suffisamment de dollars US pour régler votre visa. N'hésitez pas à voir large lorsque vous faites votre change, vous pourrez les utiliser sur place s'il vous en reste. La zone d'immigration possède un bureau de change, pratique pour obtenir ses premières roupies népalaises et payer son taxi à la sortie de l'aéroport. Ceci dit, il était fermé lorsque nous sommes arrivés, en plein après-midi, un jour de semaine. Mystère.
Le prix varie en fonction de la longueur du visa que vous réclamez : le visa de 15 jours coûte 25$, 30 jours coûte 40$, 90 jours coûte 100$. Les formalités d’entrée à l’immigration peuvent être assez longue, c'est malheureusement souvent le cas dans les aéroports et les Népalais ne sont pas les rois de l'optimisation du travail. Prenez votre mal en patience et relaxez-vous.
Vous pouvez également faire une demande de visa via courrier auprès du consulat du Népal. Vous aurez à remplir le document, fournir des photos d'identité, votre passeport, payer des frais de dossier à hauteur de 10€. Une fois votre dossier traité et bien réceptionné, vous avez 6 mois pour utiliser votre visa. En bref, c'est une bonne solution pour les angoissés de l'organisation, mais clairement une perte de temps (et d'argent), sans compter les risques de perdre son passeport au passage.
Ceux qui ont visité l'Inde diront que les deux pays partagent une ambiance similaire, à deux échelles différentes, bien sûr.
Si Katmandou surprend par son ambiance de fourmillement humain, le reste du Népal est fondamentalement plus calme. Certes la capitale grouille d'activité : voitures, scooters, camions et klaxons à tout bout de champ, les villes vivent au son de la circulation. On slalome entre les vaches sur la route, on évite les piétons. Les Népalais se hèlent dans la rue, les vendeurs ambulants abordent les touristes. Cependant, il suffit de s'éloigner du cœur hyperactif de la ville pour trouver une ambiance plus calme.
Dès qu'on sort de Katmandou, qui est une mégalopole tentaculaire comparée aux autres villes du Népal, le fourmillement est réduit à une activité humaine normale. Selon votre itinéraire au Népal, vous constaterez que les villes plus importantes tendent à reproduire le modèle de Katmandou mais vous ne retrouverez nulle part ailleurs cette sensation d'étouffement propre à la capitale.
Visiter le Népal par la route permet de croiser des hameaux et des villages, voire des petites villes, et de laisser la frénésie de la capitale est bien loin derrière. Nature luxuriante, rizières, parc nationaux, faune et flore, hautes montagnes, un périple sur ces terres d’aventure vous en fera voir de toutes les couleurs.
Le Népal vit principalement du tourisme et les Népalais n'hésitent pas à traiter les voyageurs avec attention. Vous serez généralement bien accueilli, par des guides, des hôteliers ou des commerçants ravis de faire affaire avec vous. Les Népalais ont la réputation d'être un peuple calme, patient et souriant. La vie de la population locale est rythmée par la prière et leur quotidien est lié directement au monde du divin. L’hindouisme, le bouddhisme et plus généralement la spiritualité tient une grande place dans leur vie et la tolérance est de rigueur. Ainsi, en cas de besoin, vous pourrez vous adresser à un passant en espérant qu'il parle anglais, il vous donnera volontiers un coup de main ou cherchera à le faire. Les vendeurs ambulants et chauffeurs de tuk-tuk peuvent se montrer insistants mais c'est une habitude à intégrer quand on voyage en Asie.
Vous serez peut-être surpris d'être témoin d'un savant mélange entre style de vie très traditionnel et usage intense des smartphones. Il est tout à fait courant de croiser de jeunes gens habillés à l'occidentale accompagnant leur famille, habillée à la népalaise, iPhone en main. La couverture réseau est très bonne et la nouvelle génération aurait tort de s'en priver. L'odeur de l'encens, les offrandes brûlées dans les rues, les fleurs séchées et les smartphones sont, toutefois, un combo surprenant !
Vous serez certainement confronté au « traitement touriste » : prix élevés dans les magasins (les prix sont rarement affichés pour laisser place au doute), tarif spécial dans les taxis et placement forcé dans le fond des cars touristiques. Sur ce dernier point, n'hésitez pas à pointer la place qui vous a été attribuée sur votre titre de transport et à vous y asseoir. Expliquez gentiment et calmement que cette place est la vôtre et prenez place, sans faire plus d'histoire. C'est une manière de rappeler que les touristes ne sont pas « que » des vaches à lait et doivent être traités à égalité avec les locaux. On l'a déjà dit, mais être sympathique et respectueux, même dans les conflits, ça permet de véhiculer une bonne image des touristes. Pensez aux copains !
Ne soyez pas surpris de voir les hommes se tenir la main dans la rue, c'est une habitude des plus classiques entre amis. Sachez toutefois que le Népal est le seul pays d'Asie du sud à avoir légalisé l'homosexualité et cela depuis 2007 !
Le nepali est la langue officielle du Népal. Le système d'écriture est le même que l'hindi, l'écriture indienne. Ce n'est pas une langue très abordable si vous êtes novice en langue indo-iranienne et finalement, c'est l'anglais qui sera votre meilleur atout. La plupart des Népalais balbutient au moins quelques mots d'anglais et vous vous parviendrez toujours à vous faire comprendre. Bien sûr, il est toujours intéressant de s'essayer à une langue étrangère et vous pouvez demander à un Népalais sympathique de vous apprendre quelques phrases.
Difficile de visiter le Népal sans retenir le mot nepali namaste, l'équivalent de « bonjour ». À lâcher en entrant dans un magasin ou pour saluer quelqu'un, c'est toujours sympa.
La cuisine népalaise vaut bien la peine qu'on s'y penche. Coriandre, épices et piment relèvent la quasi totalité des plats mais il est toujours possible de demander à ce que votre plat soit « no spicy » si vous n'êtes pas amateur de piquant. Comme souvent en Asie, ce n'est pas toujours dans les plus grands restaurants qu'on mange le mieux. Si vous vous sentez d'humeur aventureuse, tentez un repas dans une gargote, vous ne serez pas déçu.
Vous ne pouvez pas découvrir le Népal sans goûter à un daal bhat népalais. C'est une assiette composée de soupe de lentilles, de riz, d'un curry de légumes, de chapati (pain sans levain), de papad (crêpe fine et croquante) et d'un yaourt appelé dahi. Il existe également des daal bhat au poulet ou au buffalo (buffle; au Népal, la vache est sacrée, on ne mange pas de bœuf), pour les amateurs de viande. Cet assortiment de saveurs est à mélanger savamment, alors n'hésitez pas à demander au serveur l'ordre idéal et la bonne façon de consommer le plat. Si celui-ci parle un bon anglais, c'est gagné !
Les momo, d'origine tibétaine, sont une source sûre de bonheur gustatif. Si vous êtes quelque peu frileux à essayer une cuisine étrangère, foncez vers les momo, vous ne serez pas déçu. Ces raviolis vapeur sont vendus dans tous les restaurants et sont incontournables de la cuisine népalaise. Si votre estomac est sensible à la chaleur ou que le décalage horaire vous coupe l'appétit, voilà le compromis idéal. Quelques momo pour combler un creux, à manger à toute heure de la journée, un vrai régal. Il en existe plusieurs sortes, au poulet, au buffalo, au mouton ou végétariens, à tremper dans une sauce piquante ou à déguster nature.
Pour les grands réticents à la cuisine népalaise, vous trouverez des plats occidentaux à la sauce locale (surprenants, parfois !) dans de nombreux restaurants. Vous pouvez aussi vous rabattre sur des sandwichs types BLT (bacon, lettuce, tomato), des sources sûres.
Le Népal offre un large choix de desserts, principalement à base de lait. Si vous pouvez en consommer, ce qui n'est pas donné à tout le monde, goûtez au fameux yaourt de Bhaktapur, au kheer (riz au lait) ou encore au banana lassi, une sorte de milk-shake indien, délicieux.
Que boire au Népal ?
Des bières sont brassées localement, telles que la Gorkha ou l'Everest. La curiosité et l'influence du marketing brillant autour de l'eau de la chaîne de l’Himalaya vous poussera à y goûter, si vous êtes amateur de bière. Vous serez cependant bien déçu de constater qu'elles n'ont rien d'exceptionnel, voire qu'elles sont même plutôt insipides. Les bars et restaurants servent généralement de la Tuborg, de la Carlsberg ou de la San Miguel, d'origine européenne mais brassées localement.
Comme les sodas et toutes les boissons en bouteille de verre, les bières sont consignées au Népal. Cela signifie que les bouteilles sont nettoyées, remplies de nouveau et distribuées aux commerçants. Cela explique l'aspect abîmé de certaines bouteilles, réutilisées depuis des années. Pour cela, nous vous conseillons d'éviter de boire au goulot et de demander systématiquement un verre. Nous avons également été confrontés à une série de bières impropres à la consommation, dont le goût était franchement bizarre. La contamination fait partie des risques des bouteilles consignées. Ceci dit, le responsable du bar a été bon commerçant, s'est excusé platement et nous a offert une bière différente. Sans conséquence sur notre santé, c'est un événement mineur. Alors, si le goût d'une boisson vous semble bizarre, arrêtez tout et signalez-le !
Consommez toujours de l'eau en bouteille, veillez à ce que le bouchon soit scellé et sans dépôt avant de la boire. Vous pouvez également la purifier avec des pastilles de Micropur ou la faire bouillir pendant au moins 15 minutes avant de la consommer.
Visiter le Népal ne nécessite pas un gros budget. On peut très facilement vivre pour moins de 20€ par jour et profiter de son séjour. La valeur des choses varient clairement de la situation géographique et de l'affluence touristique dans la zone où vous vous trouvez. Les prix indiqués ci-dessous sont donc une moyenne globale des prix que vous pourrez trouver en ville:
une dizaine de momo : ~ 200 NPR
une bière (Tuborg, Gorkha) : ~ 350-400 NPR
un daal bhat à la viande : ~ 750 NPR
une bouteille d'eau : ~ 15-20 NPR
Ne vous laissez pas avoir par les prix un peu élevés de certains restaurants, encore une fois, ce n'est pas toujours un gage de qualité. Les meilleurs momo que nous ayons mangés nous ont compté 150 NPR dans l'arrière salle d'un boui-boui à Tansen !
Se loger au Népal
On se loge pour environ 1300~1500 NPR en hôtel, dans une chambre privée avec salle de bain. À Katmandou, les endroits où poser votre sac à dos sont multiples : vous trouverez moins cher en dortoir dans une guesthouse ou bien plus cher, en hôtel de haut standing ou lodge.
En dehors de la capitale ou d'une grande ville, il peut être plus difficile de se loger mais on trouve pas mal de chambres chez l’habitant ou de Airbnb, même en pleine campagne, pour accueillir les randonneurs de passage. Faites-nous part de votre expérience si vous y avez logé !
Se déplacer au Népal
Pour arriver au Népal, la plupart des vols Paris Katmandou font une escale à New Dehli, en Inde. En réservant quelques mois en avance, vous pouvez trouver des vols à des prix très avantageux !
Le moyen de transport le plus pratique pour visiter le Népal est le bus. En ville, le taxi reste l’un des transports locaux les plus faciles à utiliser. Des vols intérieurs facilitent les trajets, vers le camp de base de l’Everest notamment. Pour plus de renseignements, référez-vous à la partie “Comment se déplacer au Népal” de notre article Que faire au Népal ? Itinéraire de 3 semaines pour découvrir le pays.
1. Pour retirer de plus grandes sommes d'argent en une fois, et éviter ainsi les frais de retrait à répétition, utilisez les distributeurs automatiques de la Nabil Bank. Le plafond de retrait est fixé à 30 000 NPR, contrairement aux autres banques.
2. Si vous entrez au Népal après un séjour en Inde, sachez que vous pouvez utiliser vos roupies indiennes sur place, pour vos premières dépenses à la sortie de l'aéroport, par exemple. Les Népalais acceptent volontiers la monnaie de leur voisin, plus forte que la leur.
Nous sommes partis au Népal pendant le mois d'avril. Après les 2 ou 3 jours nécessaires pour surmonter le choc culturel du premier voyage en Asie du sud (pour Lola), c'est un séjour inoubliable qui a démarré. La religions, les influences diverses et les racines profondes du pays vivent à l'unisson et offrent aux visiteurs une culture si riche qu'elle en devient enivrante. Il faudrait toute une vie pour découvrir les trésors cachés du Népal !
Non, tout n'est pas rose au Népal...
Tout d'abord, vous ferez face au peu de travaux de reconstruction mis en place, 2 ans après le séisme. Nous n'avons vu que quelques immeubles neufs, bâtis au milieu des ruines. La faute au manque d'aides de l'étranger, aux conflits internes au gouvernement, aux pénuries de carburant (auxquelles nous avons été confrontés) qui bloquent le transport de matériaux... Bref, un vaste nœud politique qui laisse près de 2 millions de citoyens népalais à la rue. En marchant dans Katmandou, on constate que les locaux ont cessé d'attendre les aides de l'état et se débrouillent par eux-mêmes. Témoignages de l'ingéniosité humaine en matière de survie, les abris de fortune et constructions de tôles parsèment les quartiers touchés. Un vrai crève-cœur, mais le meilleur moyen de les aider est encore d'y aller et de consommer sur place.
Il faut ensuite prendre conscience de la mauvaise qualité de l'air en ville, pollué par les gaz d'échappement et la poussière, qui force les gens à porter un masque à l'extérieur. Nous vous conseillons d'en acheter un dès votre arrivée pour vous protéger également. Lorsque nous y étions, le ciel de Katmandou était constamment blanc-jaune, laissant à peine passer les rayons du soleil. La pluie est alors une bénédiction, qui permet de faire retomber la poussière au sol et de mieux respirer.
De même, la gestion des déchets est très mauvaise et les décharges en plein air sont monnaie courante. Les Népalais ont l'habitude de brûler leurs déchets organiques mais ne savent que faire des déchets plastiques. Ainsi, des hectares de nature sont recouverts de bouteilles, sachets, emballages et autres saletés. Vous ne pourrez pas faire grand chose contre ça, à part consommer de l'eau purifiée par pastilles de Micropur, pour éviter d'acheter des bouteilles. La nature est le trésor du Népal et il devient urgent de nettoyer le pays. Si une ONG entend cet appel, il faut intervenir !
...mais un séjour au Népal est un voyage inoubliable !
Vous voilà préparé à faire face aux pires aspects du Népal. Ne restez pas bloqué(e) sur ces éléments gênants et inhabituels qui caractérisent le pays, vous risqueriez de passer à côté de votre voyage, alors qu'il y a tant de belles choses à voir !
Vous aurez la chance d'arpenter l'Himalaya ou la chaîne des Annapurna (les plus belles montagnes du monde, en somme), d'apprécier le tempérament des Népalais au cours d'une discussion, de vous imprégner des croyances hindouistes et bouddhistes, de vous émerveiller devant le travail d'orfèvre des peintres de tanka, de recentrer votre esprit au son du Om mani padme um et autres mantra, de guérir vos maux grâce aux vibrations d'un bol tibétain, de constater la diversité de faune et de flore dans la jungle du parc national de Chitwan, de faire le plein de sensations fortes en rafting, en vélo ou en parapente...
En bref, visiter le Népal, c'est vivre une aventure grandiose !
Vous aussi, vous avez visité le Népal ? Vous avez envie d'y aller ? Racontez-nous ce qui vous a marqué, ce que vous en avez retenu, ce que vous avez aimé et moins aimé.
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